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Petite promenade
05/11/2005 21:22
Sur cette photo nous sommes dans un petit bois. Donc vous aurez reconu Caroline à gauche, Sébastien à droite et moi au milieu (j'en profite pour me montrer en même temps). Voilou. Bisous vous-deux.
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Sébastien
05/11/2005 21:06
Maintenant voici Sébastien. Un garçon très gentil et compréhensif. On se considère comme des frère. On se remonte le moral dans les moments difficils et le peut qu'on se voi on passe de très bon moment ensemble. Voila je t'adore, j't'embrasse très fort !
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Un choix?
25/10/2005 01:07
Pour ma part je dis que ce n’est pas un choix. Je ne me suis pas réveillé un matin en me disant : « Tien si je devenais homo ! Ca pourrait être marrant...» De plus je ne peux pas dire que ça me plais tant que ça. Je trouve ce milieu assez spécial, puis les gens s’en font une image plutôt négative, ce qui n’arrange rien. Si j’avais le choix, je crois que je me pencherai plus du côté de la « normalité » comme dirai la société, c’est à dire que je préférerai être hétéro. C’est vrai que je ne me sens pas vraiment à l’aise. Mais que ça me plaise ou non je suis gay, et ça concerne également les autres. Donc oui j’aime les garçons et en plus contre ma volonté donc je dis et j’affirme que ce n’est pas un choix ! Avant, l’homosexualité était considérée comme une maladie… Oui bien sûr, comme les homosexuels faisaient parti de la minorité de la population (et en fait toujours parti), ils étaient considérés comme des « pas normaux ». Mais si on inverse les rôles, qu’il y ai plus d’homo que d’hétéro, ce seront les hétéro qui aurai été considéré comme les malades, les anormaux ; ce qui prouve la connerie du sujet. Bon heureusement au jour d’aujourd ‘huit les homosexuels ne sont plus dans le livre des maladies. Donc voila, un thème qui reste encore tabou dans notre société, mais de moins en moins. Acceptons-nous et la vie sera beaucoup plus simple mais bien sur des cons seront toujours la pour dire le contraire
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Le suicide chez les jeunes homosexuels
18/10/2005 21:22
Depuis quelques années des recherches menées au Canada et aux États-Unis ont montré que les adolescents et les jeunes adultes d'orientation homosexuelle étaient beaucoup plus susceptibles que les autres de faire des tentatives de suicide. En fait, plus un garçon découvre tôt son homosexualité et plus il se sent différent des autres garçons, plus il se voit isolé, plus il craint d'être jugé ou rejeté, plus il est effectivement victime de quolibets, de « taxage », parfois de violences physiques. Sa famille et son milieu scolaire ou de loisirs, qui devraient être les premiers à se préoccuper de son bien-être sont, au mieux, indifférents à ce qu'il vit; au pire, ils participent à son angoisse en entretenant toutes sortes de préjugés et d'attitudes négatives face à l'homosexualité.
Devant le fait qu'il n’entend pour ainsi dire jamais parler positivement de ce qu'il vit, sinon qu'il se sent de trop, le garçon qui ressent des attirances homosexuelles en vient souvent à se haïr lui-même. d'autant plus qu'il n’y a pas beaucoup de modèles publics de réussite amoureuse, familiale ou professionnelle pour un jeune qui aime quelqu'un du même sexe. l'épouvantail du sida que l'on dresse devant lui n’est pas réjouissant non plus… De là à déprimer et à penser que sa vie ne vaut pas la peine d'être vécue, il y a un pas relativement facile à faire. Le pire, c’est que ce garçon emportera parfois son malaise et son secret dans sa tombe. C’est le cas typique du jeune garçon dont personne ne comprend le suicide. Peut-être parce que l'on préfère ne pas trop savoir pourquoi il en est arrivé là et ne pas nous sentir coupable de n’avoir rien fait à temps.
Beaucoup croient qu'aider les jeunes qui vivent des attirances homosexuelles à s'accepter et surtout à être acceptés par leur milieu de vie serait encourager l'homosexualité. C’est plutôt d'encourager la vie qu'il s’agit et de défendre le droit de chacun au respect et – pourquoi pas? – au bonheur. Aucune orientation sexuelle ne garantit d'être heureux; aucune ne devrait l'interdire.
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Perte
07/10/2005 22:13
Un jour une vie
Un autre une mort
Et jamais ne s'endore
Une âme indéfinie
Poussière il était
Poussière il sera
Il se rappelait
De ce qu'il n'était pas
Croir en son passé
Savoir son avenir
Sans jamais oublier
Sa façon de mourire
Demain il s'en ira
Dans son grand lit blanc
Et il manquera
A tous ceux qu'il aimait tant
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